Le jardinage urbain gagne de plus en plus en popularité, notamment à cause de la hausse des prix dans les épiceries.
« Si on installe un seul plant de tomate dans un pot à fleurs sur un balcon, on participe à la lutte contre les changements climatiques. »



Selon un sondage pancanadien

67% des nouveaux jardiniers en 2020 conviennent que la pandémie de COVID-19 a influencé leur décision de commencer à cultiver des aliments à la maison

85% des répondants craignent que les prix des denrées alimentaires augmentent encore suite à la pandémie de COVID-19.
Ceci est vrai autant pour les jardiniers de longue date que pour les nouveaux. Cette préoccupation n'est pas influencée par le fait que les répondants aient perdu ou non des revenus en raison de la pandémie.

Au Québec c'est 31,3% des répondants qui cultivent au moins un peu de nourriture sur un balcon, le pourcentage le plus élevé au pays.

Sondage à choix multiple

Je l'espère sur mon terrain l'été prochain

Sur mon terrain, quelques épices style basilic et, cette année, des carottes nantaises. C’est très peu, je pourrais faire plus…

Steph

J'ai essayé mais sur mon balcon toutes plante brûle littéralement. Et a l'intérieur je ne sais d'où elle sortent mais dès que j'ai une plante, j'ai des moucherons. Alors j'ai banis toutes plantes de chez moi et ca a réglé le problème.

Par contre si je finis pas avoir ma maison c'est certains que je me fais un jardin! Les aliments sont tellement meilleur quand on les cultuve nous même.

Je me considère choyé car je suis à la campagne et j'ai accès à une terre agricole. Nous avons même produit plusieurs légumes et fine herbes et petits fruits pour la transformation ou comme paniers bio vendus au marché public ou à la ferme. Mais cette saison le potager seras diminué de beaucoup. Il va plutôt convenir a nos besoins personnels.

Présentement, on cultive 5 ou 6 sortes de fines herbes plus deux bacs 8'x3' dans lesquelles ont essaie d'en faire pousser le plus possible car sinon, on n'a pas de place ailleurs. Mais le problème sera bientôt réglé car on part à la campagne en juin. On n'aura pas le temps cette année mais l'an prochain, on a bien l'intention de prendre quelques centaines de pi² dédiés à ça.

Pas vraiment urbain mais pas campagnard non plus. J'ai assez d'espace pour un poulailler, deux poules exactement qui me donnent des oeufs frais presque chaque jour. Je suis devenu un chef en omelettes.
J'ai aussi une mini serre depuis 6 ans, c'est presque obligatoire dans le Bas-Saint-Laurent si on ne veut pas avoir des légumes trop tard. Beaucoup de plans de tomates, des courgettes, des carottes, de l'ail et plus encore.