Si c'est ainsi, c'est ainsi. Ne pas vouloir imposer à la société ce qu'elle ne désire pas, ou ne considère pas comme important pour la collectivité.

Moi je suis bien heureux des sites naturistes que nous avons, c'est déjà ça. Lors de la vente du camping Nature-Détente de St-Raymond, après quelques réunions d'information, il ne s'est pas trouvé assez de membres prêts à investir le montant demandé pour que ça devienne un camping naturiste coopératif.

Alors un promoteur l'a acheté et transformé. Nous ne sommes pas assez nombreux à aimer cette activité, c'est tout. Le reportage sur les piscines à Paris le prouve. Et pourtant la France est la destination numéro un mondiale pour le naturisme. (N.B. c'est là que j'ai commencé d'ailleurs ).

Alors je crois qu'il faut arrêter de blâmer une société qui ne ''trippe'' pas sur le nudisme, et continuer à vivre et à faire survivre et même améliorer ce que nos prédécesseurs nous ont légué.

Excusez mon point de vue radical, mais faut vivre avec ce qui nous est réellement possible, et pratiquer note activité sans rancune envers ceux qui n'y voit aucun intérêt. Aujourd'hui il y a tellement de choix, de possibilités de loisirs et de façons de vivre.

Faut être quand même positif. On a vu qu'avec la vente de Nature-Détente, un camping ''textile'' peut être plus rentable pour ses investisseurs. Malgré tout des gens un peu partout au Québec continuent à préserver l'aspect naturiste de leurr camping, peut-être au détriment d'un peu de rentabilité.

Aussi plusieurs sites civils tolèrent le nudisme, c'est bien. Ça pourrait être plus populaire j'en conviens, mais c'est la demande ( le nombre de pratiquants ) qui crée l'offre. Et ça on ne peut obliger les gens à pratiquer le nudisme, comme les Témoins de Jéhovah malgré leurs fréquentes incitations et argumentations chez-moi, ne peuvent me convaincre de ce que je n'ai pas envie de pratiquer.

Nous occupons au Québec quelques sites tolérés au naturisme. Si nous devons investir notre énergie et des dollars dans quelque chose selon moi, c'est d'acquérir ces sites alors qu'ils ne sont pas encore convoités par les spéculateurs, parce que ces endroits sont méconnus, plutôt que de lutter contre des conseils de municipalité et des propriétaires fonciers hostiles au naturisme.

N'étant pas convoités par les spéculateurs et les agents immobiliers comme ça été le cas à Nature-Détente, le prix du terrain non aménagé serait probablement abordable, et le conseil municipal coopératif.

Ensuite, en faire un camping naturiste d'aspect sauvage ne demanderait pas un investiissement inarbordable des membres-propriétaires du terrain. De ce te terrain cloturé et surveillé, on demanderait un droit d'accès significatif aux non-membres ( on sait qu'on est prêt à payer plus pour un site naturiste que textile ) et ça pourrait faire peut-être les frais du camping sauvage, avec le bénévolat de la communauté naturiste ( on connait leur engouement ).

Ceci n'est que théorique, mais un projet ça débute toujours par des idées.

Le naturisme a débuté à la fin du 19 ième siècle en Allemagne. Les gens vivaient toute leur journée dans une manufacture non aérée et sombre. Puis ils vivaient à Munich dans des appartements aussi non aérés et sans soleil.

Alors un mouvement de retour à des valeurs non urbaines est apparu. Aller dans la nature, bouger ( gymnastique, baignade ) et pourquoi pas faire voir au corps un peu de soleil.

Je crois que ces valeurs sont encore d'actualité. Ce qui expliquerait probablement le peu d'enthousiasme pour le nudisme de ville: piscine, quilles, vélo, etc.

Par contre les gens aiment le naturisme dans la ...nature! Oka, Cayo Largo.

Je pense que nous devons mettre nos intérêts naturistes à développer la fuite positive dans la nature, avec entres autres le naturisme.

soleil333 a écrit:

Nous occupons au Québec quelques sites tolérés au naturisme. Si nous devons investir notre énergie et des dollars dans quelque chose selon moi, c'est d'acquérir ces sites alors qu'ils ne sont pas encore convoités par les spéculateurs, parce que ces endroits sont méconnus, plutôt que de lutter contre des conseils de municipalité et des propriétaires fonciers hostiles au naturisme.

N'étant pas convoités par les spéculateurs et les agents immobiliers comme ça été le cas à Nature-Détente, le prix du terrain non aménagé serait probablement abordable, et le conseil municipal coopératif.

Ensuite, en faire un camping naturiste d'aspect sauvage ne demanderait pas un investiissement inarbordable des membres-propriétaires du terrain. De ce te terrain cloturé et surveillé, on demanderait un droit d'accès significatif aux non-membres ( on sait qu'on est prêt à payer plus pour un site naturiste que textile ) et ça pourrait faire peut-être les frais du camping sauvage, avec le bénévolat de la communauté naturiste ( on connait leur engouement ).

Ceci n'est que théorique, mais un projet ça débute toujours par des idées.

Tout à fait d'accord avec toi, je viens d'aller sur un site de vente de terrain, et il y a vraiment beaucoup de choix, dont certain avec cour d'eau.

L'idée de la coopérative est un excellant moyen pour en faire l'acquisition. D'ailleur un tel projet à déjà vue le jour en Abitibi, et celà fonctionne très bien. Nous y somme allés et c'est vraiment surpenant de voir leur installation malgré l'absence d'Hydro-Québec.

Reste a former une équipe pour recruter des investisseurs potentiels pour une telle aventure.

[Note : Présentation corriger par Admin]

Désolé, pour le post précédant, j'ai écrit mon texte au mauvais endroit, vous comprendrez qu'il est sous la phrase en rouge.

Je suis aussi d accord avec l'idée de coopérative , reste à savoir si dans la région il y a assez d'adeptes pour que ca fonctionne